Pas parce que je suis parfait, loin de là et même tout le contraire. Mais juste parce que je me raconte toujours la plus belle des histoires pour lier dans l’amour hier, aujourd’hui, et demain.
Je me pardonne mes ratés, quelquefois très stupides il est vrai. Disons que je suis câblé comme ça et que je n’y peux rien. Moi ça m’fait rire. Chérie aussi, comme quand elle fait cramer la maison avec son grille pain.
J’accueille mes souffrances. Elles ont le droit d’exister.
Je me donne le droit d’incarner moi-même les rôles de père et de mère idéaux dont j’ai tant besoin pour continuer à grandir.
Opéra symbolisera l’amour maternel.
Namilélé, l’amour paternel.
Et ils m’aideront à apprendre à m’aimer mieux chaque jour qui passe. On peut s’aimer vraiment dans HUNKAAR, et c’est ce que j’ai envie de montrer en le vivant.