[Défi du mois n°8] Une porte. Une boussole. Racontez-nous le chemin.
Nos inconscients ont choisi pour ce huitième défi du mois un décor plus poétique.
Nos inconscients ont choisi pour ce huitième défi du mois un décor plus poétique.
Se donner un peu d’amour, chacun à sa manière, est l’essence du bonheur.
Pour ce septième défi du moi, la difficile tâche de se donner un peu d’amour. Sous quelle forme ? C’est à vous de le décider.
Quand rien n’est prévu, c’est la magie du présent qui renaît.
Pour ce sixième défi du mois, quand rien n’est prévu, tout est possible.
Encadrer la liberté est certainement une des tâche les plus difficile quand le cadre est souvent lié à la restriction plutôt qu’à la sécurité.
Toutefois, nous vous présentons avec joie nos interprétations pour ce 5e défi du mois.
Pour ce cinquième défi du mois, nous vous invitons à explorer les possibilités offertes par la liberté dans un cadre.
Quel défi ! Il nous en aura fait voir de toutes les couleurs. Au début cela ressemblait à ça : des émotions, des protections, bordel il est où mon « défenseurs des émotions » dans tout ça ? Est-ce que c’est celui qui défend contre les émotions trop dangereuses ? Est-ce que c’est plutôt celui qui est chargé de défendre leur droit d’exister ? Est-ce que c’est les deux ?
Aurore et moi nous sommes posés les mêmes questions tout au long de ce 4e défi du mois. Le moins que l’on puisse dire, c’est que de notre côté, il aura sacrément fait bouger les lignes !
Pour ce quatrième défi du mois, nous vous proposons de partir à la rencontre d’un défenseur de vos émotions.
J’en ai souffert de ma lenteur. Elle dérange. J’étais « Deux d’tension ». J’adorais passer mon temps à rêvasser une fois les exercices en classe rapidement terminés. Mes petits camarades se moquaient souvent de moi alors je me forçais à faire le pitre avec mon copain Antonio pour montrer un peu plus de vie. Même en sport, j’étais mou. Je transportais ma lenteur comme un fardeau si lourd à porter.