[Défi du mois n°16] La beauté du silence

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Chaque mois, nous proposons un challenge à explorer tous ensemble afin de partir à la recherche de qui nous sommes vraiment. Nous publions ensuite les interprétations de tous les participants volontaires sur le site.

L’objectif le plus important n’est pas la performance, mais la progression. Un pas après l’autre, un défi après l’autre. S’investir et s’offrir du temps pour soi, c’est finalement le plus important avec les défis du mois. Le résultat est secondaire.

Aurore et Jean-Emmanuel publieront également chaque mois leur propre interprétation du défi pour faire honneur à HUNKAAR. Vous êtes tous libre de nous rejoindre ou de nous suivre de loin en fonction de vos disponibilités et de vos envies.

Si vous souhaitez découvrir les précédents défis du mois ainsi que les interprétations de tous les anciens participants, cliquez-ici.

Vous avez jusqu'au 25 mai 23h59 pour nous envoyer votre interprétation à contact@hunkaar.fr

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1 réflexion au sujet de « [Défi du mois n°16] La beauté du silence »

  1. La beauté du silence…
    Depuis quelque temps, trois semaines peut-être, me vient ponctuellement à l’esprit que le silence, si l’on tend l’oreille, a tant à nous dire… Que le silence a beaucoup de choses à nous raconter. Ce sont ces derniers mots qui précisément me viennent à l’esprit.
    Je ne peux donc qu’être agréablement interpellée par ce défi du mois, “la beauté du silence”.
    Un peu comme le clin d’oeil complice qui suffit à m’envahir de l’élan juste, initiant cette suite de mouvements de me lever, aller chercher mon cahier et mon stylo, m’installer et laisser arriver en encre et formes lettrées ce flux de pensées…
    Un clin d’oeil complice déclencheur de ce mouvement intérieur.
    J’entends le tic-tac de l’horloge, les sirènes d’une ambulance au loin, mêlées aux vrombissements des moteurs… des chants d’oiseaux aussi. Et entre tout cela, LE SILENCE. Dans la moindre intervalle, LE SILENCE. Je l’aime. Je sens qu’il le sait. De lui, en quelque sorte je suis.
    Souvent, le silence est associé au vide. Le vide existe-t-il vraiment ? Ce n’est pas ce que je ressens. LE SILENCE me remplit. LE SILENCE m’ouvre à une écoute élargie. Intérieure, et extérieure.
    Intérieur et extérieur ne font plus qu’un alors.

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