[Défi du mois n°3] Quand une fragilité devient une force

Quand une fragilité devient une force

Ce défi du mois fut pour beaucoup le plus compliqué. Certains m’ont même envoyé des mails en s’excusant de ne pas avoir participé. Je tiens à exprimer une pensée envers toutes celles et tous ceux qui ont passé du temps à chercher au plus profond d’eux-mêmes des réponses sans les avoir encore trouvées.

Le principe de ces défis du mois est qu’il y ait une mise en mouvement en chacun de nous. Les interprétations ne sont que des motivations supplémentaires. Même si vous sautez un ou deux ou dix défis du mois, vous sentirez cette fierté lorsque vous aurez touché du doigt un peu plus qui vous êtes vraiment.

HUNKAAR est une aventure où les échecs n’existent pas. Nous sommes tous là pour apprendre sur nous-même.

Jean-Emmanuel

J’en ai souffert de ma lenteur. Elle dérangeait. J’étais « Deux d’tension ». J’adorais passer mon temps à rêvasser une fois les exercices en classe rapidement terminés. Mes petits camarades se moquaient souvent de moi alors je me forçais à faire le pitre avec mon copain Antonio pour montrer un peu plus de vie. Même en sport, j’étais mou. Je transportais ma lenteur comme un fardeau si lourd à porter.

Moi, je voulais être rapide. Le plus rapide. Quand j’y repense, la vitesse recherchée en Street Hypnose et les inductions instantanées me fascinent toujours autant 15 ans après. A quel point, avec une entière collaboration, il est possible d’aller profondément dans le sommeil hypnotique avec un simple claquement de doigt.

Je me suis bercé d’illusions et je croyais sincèrement que la rapidité allait soigner ma lenteur ; j’avais au mieux panser temporairement mon hémorragie interne. La lenteur restait un poids insoutenable tout au fond de moi parce que je ne pouvais pas vivre ces inductions…sur moi. Je voulais vivre Street Hypnose et mon corps me le refusait.

C’était un peu comme si je me fuyais moi-même en permanence.

Et puis ce mois d’avril 2022, avec le défi du mois, j’ai décidé de prendre mon temps. Le temps de laisser la sécurité prendre quelques racines dans mon jardin intérieur. J’ai commencé à m’écrire ces quelques lignes le 11 avril 2022. La prose était belle à mes yeux, j’aurais pu publier tel quel et profiter paisiblement des 14 jours restants. A la place, j’ai pratiqué presque quotidiennement des séances d’autohypnose HUNKAAR où je posais comme thème principal mon acceptation de la lenteur. A force de libérations émotionnelles d’une extrême intensité, à l’intérieur de moi avait disparu une partie de ma lourde lenteur pour laisser place à une éloge de la lenteur que j’aimerais vous présenter.

La lenteur m’assura durant mes séances un confort et un refuge précieux à la redécouverte de mon immensité inconsciente. Je décidai de ralentir toujours plus les mouvements, les pensées, tout en rejetant la passivité. C’était un peu comme si je regardais chaque partie de mon corps et de mon passé avec le soin du détail. Mes émotions étaient de toutes les couleurs et elles vibraient dans tout mon corps comme un arc en ciel de bonheur dans le monde de la lenteur. Les larmes coulaient à flot et je remarquai curieusement que mon visage était plus ou moins crispé quand c’était de l’amour ou de la tristesse. Je pris le temps de m’observer vraiment. Dans les bras de la lenteur j’embrassai le réconfort d’une mère qui offre l’amour universel.

Je me sentis moi.

Et accepté.

Ce moment hors du temps fut de courte durée. Une petite pensée parasite pointa le bout de son nez. Et vous savez quoi ? Pour la première fois j’osai l’autoriser tout simplement à être-là. De parasite, elle devint protectrice. Elle put prendre son temps et me confier ses peurs. Elle me demanda d’ouvrir les yeux, ce que je fis. Elle se sentit écoutée et rassurée. Soudain, les idées fusèrent dans ma tête et les compréhensions furent évidentes au point de me bouleverser de ne pas les avoir eues plus tôt. Les yeux ouverts, le temps arrêté, je fixai le pan de mur peint par mon inconscient sans cligner des yeux durant peut-être un peu moins d’une minute, avant de m’apercevoir que la main droite, reposant le long du corps, était en train de s’élever dans les airs sans même que je m’en aperçoive, lentement.

Ce mur raconte mon intérieur : intime, inconscient, enfantin, naïf, centré autour du cadre sécurisant qu'incarne HUNKAAR pour moi aujourd'hui.

Ma main grimpait encore la gravité quand je sentis une peur surgir au fond de moi. Je recommandai alors à mon inconscient présent dans la main de ralentir le mouvement pour me permettre de me sentir plus en sécurité. Je ressentis naturellement le besoin de verbaliser à haute voix ce besoin. Avant, j’aurais attendu que mon inconscient présent dans le bras le devine tout seul, comme s’il était une divinité suprême qui forcément allait tenir compte de toutes mes peurs. J’acceptai de jouer le jeu de la dissociation et de lui parler comme si nous étions multiples. Avec tout mon amour, je lui demandai à nouveau de ralentir pour ne pas activer mes peurs, pourtant elles aussi inconscientes. Je souhaitais écouter avec sincérité toute l’histoire de cette partie de moi qui bougeait ma main. Elle était devenue encore plus précieuse à mes yeux. Dans la collaboration et la lenteur, j’ai découvert un nouvel allié que j’ai hâte de vous présenter.

Il est devenu clair pour moi durant ce mois d’avril que c’est dans l’extrême lenteur que j’évoluerai le plus rapidement.

Aurore

Avec moi au piano

Pascal

D’après le dictionnaire, il est fragile ce qui peut se briser, à distinguer de faiblesse, qui, à mon sens a des connotations de jugement.

La résilience ne serait-elle pas une métamorphose de certaines de nos fragilités…

Conscient de nos fragilités, ne serait-ce pas là une de nos forces.

Nos fragilités ne seraient pas, non plus notre essence, notre personnalité ce qui nous caractérise et en fin de compte ce que nous sommes.

L’incarnation ne serait-elle pas aussi l’expérience de notre fragilité…

Anne

Jean-Christian

Les deux interprétations viennent bien du même homme.

Philippe

Une force peut être une faiblesse mais cette faiblesse peut être une force :
Je me sens fort protégé des émotions, les accueillir fait rayonner.

Eliane

Il était une fois une battante, qui courrait un jour de grand vent au moment où la porte ne battait pas dans le bon sens et qui se l’est prise sur le museau. KO, la dame ! Impossible de se relever, enfin pas tout de suite, à cause d’un gros crabe qui avait décidé de la squatter en mode coucou.

C’était fin décembre 2015.

Comme elle s’agitait en tous sens, déniait et voulait poursuivre sa route, de gentils humains habillés de blanc ont dû la bâillonner, l’assigner à résidence, en la menaçant par le menu de tout ce que ce foutu locataire allait lui faire subir. “Non, vous ne serez pas sur pied en mars prochain !”. Le trou noir. La peur. Le bel élan sapé. La volonté, le moral et la joie de vivre glissent lamentablement au fond des chaussettes, au fur et à mesure que les prédictions commencent à se réaliser une par une.

Mourir peut-être oui, mais…

Vivre… Se laisser aller à l’affaiblissement progressif, augmenté de l’absence de jugeote induite par la guerre interne et… faire confiance… lâcher totalement prise.
Vivre ? S’apercevoir qu’au fond quelque chose sourit tout de même… sourit malgré tout… et fait naître quelque chose qui ressemble à de l’espoir… l’espoir d’on ne sait pas trop quoi, d’on ne sait pas trop qui, d’on ne sait pas trop quand, ni où, ni rien… mais qui semble savoir ouvrir des fenêtres et pourquoi pas des portes ?

Vivre !!! Au fond d’un lit, c’est fou comme le plafond se meut et comme il arrive que l’écran qu’il propose programme des programmes reprogrammants. La dame décide alors, qu’avec ou sans l’accord des docteurs-je-sais-tout, le crabe serait expulsé au printemps comme l’autorise la loi et que début avril, elle conduirait jusqu’à Toulouse pour un nouvel envol, une nouvelle formation.

La faiblesse a engendré la nécessité d’un but pour l’espoir, qui a lui même conçu la force de transcender la faiblesse, pour cheminer jusqu’à la cible. Et à Toulouse elle fut. Les deux heures trente de route coupées en deux par une nuit de repos
indispensable, mais elle fut. Nauséeuse, vacillante et morphinée jusqu’aux yeux, mais elle fut.

Merci !

Merci à cette grande fragilité qui a changé ma vie et à cet être têtu tapi au fond de moi, qui m’a permis de sortir des grands axes pour prendre les chemins de traverse que je parcours aujourd’hui avec tant de plaisir.

Sylvaine

Gaël

Transcription

Faire d’une faiblesse, une force.

Qui décide que l’on parle de l’une ou de l’autre ? Les faiblesses des uns, sont la force des autres.
Avoir de la compassion c’est « se faire avoir » dit-on. Et si ça c’est accepté par la personne : est-ce une faiblesse ? Cette même compassion n’est-elle pas utile, ne devient-elle pas pas une force en d’autres occasions ?
On pourrait parler de contexte, je dirais parlons de CADRE. Ca devrait parler à pas mal de monde. Le cadre : qui le définit ? Fait on partit du cadre ? Est-ce qu’on subit le cadre ? Peut-on élargir, modifier, contrôler ce cadre ?

Une personne, une seule, me parle de faiblesse. Donc on y’est ! Voilà, s’en est une.

Ben non, il en faut au moins deux… trois… dix ?! Tu le places où le curseur toi ?

Une personne, c’est moins important que deux, trois, dix ? Le nombre fait la raison ? Ne connais-tu pas UNE personne (LA personne) qui pour toi à plus de valeur que dix réunies ??

Par conséquent, qui décide réellement de la valeur de ce qui est dit ?

Qui décide de l’importance du cadre plutôt qu’un autre.

Qui va devoir apprendre à vivre avec ces forces et ces faiblesses ?

Tes forces seront faiblesses.

Tes faiblesses seront forces.

Mais sois         toi.

Découvre        toi.

Ouvre              toi.

Aime               toi.

De toi

            pour

                        toi

Yann

(Sur la vidéo, j’ai demandé à mon référent de faire comme avant jusqu’à ce que mes mains se touchent, vers 1’45min, ensuite il y fait comme il sait faire maintenant jusqu’à 3’05 et avec un peu de temps et/ou avec de la musique, mes mouvements deviennent plus fluides et plus amples).

Quand j’ai eu le défi du mois, ce soir là, le sommeil ne venait pas malgré la fatigue car une partie voulait que je raconte notre histoire, j’ai pu m’endormir lorsque j’ai validé que je le ferai.
 
Je n’ai pas beaucoup de souvenir de mon enfance mais je me souviens que j’étais différent de la majorité, plus dans mon monde, dans la lune, pas la même façon de penser, et qui dit différent, dit peu d’amis et victime de moqueries, voire dans certains cas d’humiliations. 
Un copain au Cm1 a essayé de me faire devenir plus fort pour qu’on m’embête moins, me dépasser par le sport, cela n’a pas pris de suite mais a fait son bout de chemin dans ma tête.
Les années passant, la pratique de sport de combat, mon caractère impulsif, puis plus tard ma carrure dû à la musculation fut que de mes années lycée jusque maintenant, les moqueries ont été très faibles voir inexistantes, et j’ai même pu me faire plus d’amis en m’adaptant. Ouf mes faiblesses derrière moi… Que pourrait on demander de mieux ? 
 
Résistant à l’hypnose, à force de travailler sur moi, je gardais en tête que ma force finirait par me faire réussir, mais c’était tout autre, et je dirais même que malgré toute mon assiduité, fin 2021, je régressais, ce qui fût assez dur à vivre.
Pendant une séance début 2022, séance où je sentais qu’une fragilité voulait apparaitre, me renvoyant dans mes jeunes années. 
Je sentais une dualité force/ fragilité et à ce moment, j’encourageais encore la force à prendre le dessus jusqu’à ce que j’explose littéralement en sanglot.
Cette partie en souffrance était ma fragilité que j’avais bien enfouie depuis des années, dans toute sa bienveillance alors que je sentais que l’émotion était loin d’être finie, elle me fit arrêter au bout de 30min et heureusement car je mis pas loin de 24h à m’en remettre. 
Cette partie m’a délivré un message intérieur avant mon réveil : Ta fragilité est une force. 
Depuis cette partie a pu relâcher encore un peu et est devenue mon référent, et mes mouvements idéomoteurs libres sont devenus bien plus fluides et mon signaling bien plus compréhensible, ce qui me permet une meilleure communication avec elle et les autres parties. 
 
Son prénom : Victoire.

Nicolas

Transcription

Petit « f »
Petite « fragilité », petite et grande « faiblesse »
Petite « flamme »
tu es là tapis en moi.
tu es petite et pourtant, je me brûle quand je m’approche de toi.
tu m’aveugle et pourtant, je perçois un chemin.
si petite et pourtant tellement puissante et puisante.
je ne te comprends pas, tu me fais mal, tu m’isole.
sensibilités, ressentis, émotions et tant d’autres choses qui me fragilisent, me figent.
Et puis ; je rencontre, j’apprends, je me confronte, je grandis en même temps que toi.
Les rencontres de la vie ; Michèle, Olivier, Ayom, Manu, Julien et les autres m’ouvrent une autre
dimension, un autre chemin, d’autres possibilités.
Et c’est toi ; transformée, transcendée en
grand « F »
grande « Force »
grande « Flamme »
qui éclair se chemin.
Même si parfois je me brûle encore, je sens surtout que tu me réchauffes ; une chaleur remplie de
bienveillance et d’Amour.
Alors, je te dis « Merci » avec un grand « M » pour que je continue de M’aiMer.

Benoit

Pour ce défi, j’ai eu la réponse rapidement de l’idée générale à exprimer mais dans le choix de la façon dont j’allais le transmettre, ce n’était pas clair. Mon inconscient voulait que je fasse une petite vidéo, mais je ne suis pas prêt à m’exposer autant pour le moment. Alors je vous livre ce petit texte :

Lorsque j’étais enfant, puis adolescent, j’étais sensible, émotif. Mon entourage n’a pas su accueillir toutes ses émotions. Petit, lorsque je pleurais trop, on m’enfermait sous l’escalier, façon Harry Potter mais sans la lumière ! Un petit peu plus grand, on me disait “soit un homme, ne pleure pas !”. J’en étais venu à avoir honte de ma fragilité émotionnelle.

Dur, dur, pourtant, j’ai conservé cette sensibilité. Alors c’est sûr, que j’ai appris à la camoufler, j’ai même fait une carrière de militaire pour perfectionner cet apprentissage pleinement, et aussi pour me barrer de chez moi et être autonome.

Et puis un jour, j’ai atterri en formation “hypnose générale”, cadeau de mon quarantième  anniversaire. J’ai appris que j’avais un inconscient et que l’on pouvait apprendre à se connaître. Après un dialogue avec mon inconscient, nous avons décidé de poursuivre l’aventure Hunkaar jusqu’au bout. Au début ma motivation première, c’était un pacte avec mon inconscient, je poursuivais l’hypnose Hunkaar et il arrêtait de me faire mal au dos. J’ai tenu parole, lui aussi. 

Grâce à ce dialogue avec mon univers inconscient, j’ai redécouvert qui je suis vraiment.

J’ai découvert que cette sensibilité pouvait s’exprimer de nouveau, au départ dans ce groupe plein d’amour et de bienveillance, et puis, petit à petit, en prenant confiance en moi, j’arrive à m’ouvrir en dehors aussi quand le moment semble opportun.

Maintenant, grâce à cette formation, ma sensibilité est devenue un atout dans ma boite à outils de thérapeute.

Merci, merci à tous les hunkaariens pour votre contribution à faire vivre cette philosophie.

Alban

J’ai vu les deux premiers défis passés, mais je suis vite passé à coté. En voyant le sujet de ce mois ci, je me suis immédiatement senti attiré vers celui-ci et la premiere image que j’ai eu c’est ma timidité.

J’ai immédiatement pensé à ma timidité comme fragilité, mais ne voyait pas comment ça pouvait / aurait pu devenir une force. Je le sentais, ce n’était pas la bonne direction à prendre pour ce thème.

Je connais actuellement deux référents : “Roger” que j’ai découvert à la formation d’hypnose expérimentale et un peu plus récemment (3-4 ans environ), “Robert” s’est présenté à moi.
Des noms plutôt communs, mais qui commencent par la même syllabe. Ce n’est pas une coïncidence…

Quand je me fais du signaling, j’aime bien m’adresser à “inconscient” qui symboliquement pour moi représente Roger, Robert et d’autres parties que je ne connais pas forcément.

Les bases étant posées, je décide donc de faire du signaling, et je demande si j’ai ou j’avais une fragilité qui est devenue  / peut devenir une force. J’ai eu un oui magnifique.
Je demande si c’est ma timidité, la réponse fut non.

J’ai donc essayé d’en savoir plus,  j’avais une fragilité qui est devenue une force, mais mon inconscient dans sa globalité refusait catégoriquement de me dire de quoi il s’agissait.

Ma curiosité m’a poussé à savoir si c’était Roger ou Robert qui ne voulait pas. C’était les 2.

Je sais qu’ils vont dans la même direction tous les 2, qu’ils sont souvent complices dans la résolution de mes maux, et j’ai eu une intuition, une question est apparue : 

“Avez vous fusionné ?”
J’ai jamais eu un oui aussi franc.

Après investigation, Roger n’existe plus mais toutes ses ressources sont désormais intégrées à Robert.
J’ai donc cherché à savoir quand cela s’est produit et la réponse fut fin décembre. Le mois de décembre a été difficile à vivre, j’ai failli perdre mon travail à cause d’une rumeur fallacieuse que disait une personne ainsi que quelques autres petites difficultés qui se sont accumulées.

C’est à ce moment précis que Roger et Robert ont fusionné, plutôt que de travailler chacun de leur côté sur la même chose, ils ont assemblé leurs forces pour devenir plus puissants.
Depuis je me sens beaucoup plus fort,  je sens que j’ai changé intérieurement en quelqu’un de meilleur.
Je sais maintenant après plusieurs interrogations que ma faiblesse venait de ce foutu mois de décembre et qui a fini par la force de la fusion de deux de mes référents.

D’ailleurs, je refusais de me faire hypnotiser ces dernières années (sauf par des hypnotiseurs en qui j’ai total confiance, donc quasiment personne…) car je savais que de grosses émotions sortiraient, et qu’il me fallait quelqu’un qui puisse les gérer.
Or depuis le début de l’année, changement radical.
Je me fais hypnotiser sans problème. Je sens que du travail en arrière plan a été fait depuis cette fusion. Bien que j’ai encore des choses à libérer, je sais que mes émotions ne sortiront pas dans une séance ludique, ce qui est un grand pas pour moi.

Je me sens encore plus épanoui qu’avant et je sens que ce n’est que le début.

Laurent

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