Mon histoire dans le logo HUNKAAR

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A travers le logo HUNKAAR, je livre toute mon histoire à celles et ceux qui souhaitent l’écouter. Je me découvre aussi petit à petit à chaque article publié, mais vous ne voyiez bien souvent que le sommet de l’iceberg. En faisant animer le logo, j’ai souhaité vous confier une part plus importante de mon histoire, à l’image du dernier article sur le deuil.

Est-ce la vraie histoire de Jean-Emmanuel COMBE ? Non. Il s’agit seulement de l’histoire que j’aime à me raconter, l’histoire qui me fait le plus de bien. Certains protagonistes de ma vie passée pourraient être en total désaccord et crier à l’imposture. Ils auraient raison, c’est leur histoire.

Ce logo, c’est ma façon d’ancrer dans le marbre ma volonté de ne plus me laisser manipuler par l’histoire que les autres se racontent à mon sujet. Je souhaite écrire ma propre chronique en suivant des valeurs qui me parlent : amour, bonheur, liberté. Une douce poésie qui donne du sens à ma vie. Et personne ne pourra plus jamais m’en priver. J’ai arrêté de croire à la recherche de l’unique réalité partagée par tous. J’ai décidé de raconter ma propre réalité qui me fait grandir et qui me fait du bien. Et si certains la jugent incohérente et fausse, c’est simplement qu’ils ne parviennent pas à se mettre en empathie avec moi, et je n’ai même plus la force de leur en vouloir. Chaque histoire de chaque personne est belle, dès lors qu’elle est écoutée dans l’amour. Et je ne souhaite être entouré que par des personnes qui partagent ces mêmes valeurs.

A toutes celles et ceux qui vibrent à la lecture de mes quelques mots, à toutes celles et ceux qui sont curieux d’en savoir un peu plus sur mon parcours, j’ai envie de vous emmener dans un voyage au cœur de VOTRE inconscient.

VOTRE histoire

Ce texte doit être lu LEN-TE-MENT.
Prenez le temps de faire des pauses entre chaque phrase, pour vous en imprégner complètement.

Plus vous le lirez lentement, et plus vous en apprécierez les effluves.

Wow, vous êtes arrivé jusqu’ici dans votre vie et vous n’avez jamais cessé de vous battre pour évoluer. C’est une sacré performance.

Et puis vous en avez sacrément bavé, dites donc.

Quel courage…

Comment ça j’en fait trop ? Vous ne croyez déjà plus aux simples et sincères compliments ?
J’entends bien que l’on vous a trop souvent dit de belles choses pour vous posséder en retour. Et j’en suis terriblement désolé.

Est-ce que vous accepteriez de me laisser tenter ma chance et vous dire de belles choses ? Et si vous ne les trouvez pas sincères mes paroles au final, fuyez. Partez, loin, et ne revenez plus jamais vous laisser importuner en ces lieux bizarres et étranges où l’on donne la parole à la folie raisonnable de l’inconscient.

Du coup, j’insiste, BRAVO pour ce si joli parcours. Vous le méritez.

Vous n’êtes pas encore au bout du chemin, ok, et pourtant vous pouvez observer avec apaisement toute la distance parcourue et tous les obstacles franchis. Ce n’est pas rien.

Tout n’est pas tous les jours facile, et pourtant vous n’avez jamais arrêté d’espérer.
Espérer quoi ? Trouver l’amour bien sûr.

Mais non, pas celui-là d’amour, pas celui qui rend dépendant à l’autre. Je parlais de l’amour de vous à vous.

Celui qui émancipe, celui qui libère, celui qui redonne l’espoir d’une vie accomplie. S’aimer pour découvrir le sens de sa vie et le laisser se déferler dans toutes les nuances de l’univers, sur la Terre et dans les étoiles.

Vous êtes plutôt joueur, au fond. Je vous ai bien cerné je crois. Je sais bien que vous ne laissez pas assez s’exprimer cette part enfantine de vous-même. Et pourtant, vous la sentez régulièrement qui vous appelle, n’est-ce pas ? Elle a envie de sortir, elle vous titille chaque jour un peu plus. Comme si vous vieillissiez à l’envers. Elle est loin et en même temps elle est si proche. Elle rêve d’autorisations lui permettant de crier de joie et de rire comme vous le faisiez plus petit. A quand remonte la dernière fois que vous avez VRAIMENT crié de la joie ? Le quotidien ne le permet pas, je vous l’accorde volontiers, et malgré tout vous sentez, là tout de suite, cette petite pointe d’espièglerie remonter à la surface quand j’en parle. Vous savez. Vous savez qu’au fond de vous, c’est toujours présent. Et qu’un jour, cette petite partie de vous aura de nouveau le droit de s’exprimer librement. Comme si c’était votre chemin logique. Elle aura alors le droit de rire aux éclats. Peut-être avez-vous déjà redécouvert votre “vrai” rire. Celui dont les copains se moquaient étant plus jeune. Pur et sincère. La joie exprimée par un corps totalement libéré de ses poids. Je sais que vous allez arriver à le libérer un peu plus encore. Et vous le savez aussi. Il suffira juste de trouver les bons outils pour y parvenir. Testez-en plein surtout. Jusqu’à trouver ceux qui vous parleront dans vos tripes et dans votre cœur.

Tout comme cette émotion de tristesse. Je la vois en vous. Elle est cristallisée, bien trop présente. Elle définit encore qui vous croyez être. Attention à ne pas vous laisser dominer par cette tristesse. Vous savez, quand elle vous pousse à des comportements pas toujours très bons pour votre corps. Ne faites pas l’autruche, vous savez très bien de quel pan de votre histoire je parle. Celui-là même qui vous a tant fait souffrir. Peut-être en avez-vous oublié une bonne partie, aussi, pour vous protéger. Et vous, oui vous, vous avez quand même trouvé de chouettes techniques tout au long de votre vie pour enfouir toute cette tristesse et ne pas la laisser sortir complètement.

Pourquoi ?

Quand je vous disais de ne pas vous laisser dominer par cette tristesse, je ne vous proposais pas de l’enfouir encore plus profond. Vous êtes coquin hein. Vous avez raison, ça ferait vraiment mal de devoir l’affronter. Au final, c’est parfait comme cela. Ne changez rien. Vous avez le droit. Tout comme vous avez le droit, un jour, d’aller la voir pour écouter ce qu’elle a à vous dire. Ce ne sera jamais une obligation. Vous aurez toujours le droit de dire non et vous trouverez toujours de nouvelles façons de la contourner, je vous connais bien maintenant.

Je me trompe peut-être, mais j’ai l’impression que vous faites partie de ceux qui ont envie de dire oui. Peut-être pas tout de suite. Je ressens cette envie un jour de pouvoir soigner cette émotion et de ressentir l’apaisement qui s’en suit. Comme une quête un peu lointaine encore de soigner toute votre enfance pour vivre l’apaisement le plus total.

Vous savez, moi, j’ai déjà vécu un tel soulagement en libérant ce genre d’émotions négatives de mon corps qu’aujourd’hui je prend un plaisir inconsidéré à libérer des souffrances de mon passé. A croire que j’ai découvert mon nouveau fétichisme : le bonheur et la légèreté qui s’expriment ensuite sont devenus carrément addictifs pour moi. Alors ok, cette émotion vous fera sans doute un peu mal dans l’œsophage à la sortie, voire même beaucoup, mais un jour vous aurez la certitude que c’est le bon moment pour l’affronter. Il suffit d’être entouré des bonnes personnes, au bon endroit. Et puis ça fait *click* et ça sort tout seul. La seule difficulté, c’est de continuer à chercher tant que l’on n’a pas encore trouvé ces conditions idéales.

On ne comprend plus rien à ce qui se passe, mais on se sent juste à sa place. Et on laisse faire. Et on libère. Jusqu’à se retrouver vidé. Et heureux.

Ce jour-là, vous découvrirez encore un peu plus cette belle personne que vous êtes. Parce que, je sais que vous savez, cette émotion et toutes les autres, bien enfouies, vous privent de cette époustouflante découverte : qui vous êtes… vraiment.

Il faut du courage. Beaucoup de courage. Et de la volonté, oh oui il en faut de la volonté, pour ne pas lâcher. Pour s’accrocher. Jusqu’au bout. Se battre jour après jour, pour le restant de sa vie si courte et si précieuse, afin de toucher du doigt un jour la réponse à cette question sacrée : quel est le sens de ma vie ? Personne ne serait assez prétentieux pour affirmer avoir trouvé LA réponse. Peut-être une ébauche de réponse. Ça oui. Vous avez déjà touché du doigt la réponse au moins une fois dans votre vie. Vous vous souvenez ?

Et dans cet océan de synchronicités, vous continuerez à forger votre route jusqu’à rencontrer cet être merveilleux qui sommeille en vous. Il veille sur vous, tant que vous ne l’avez pas encore rencontré. Lui avez-vous déjà donné un nom ? Je ne parle pas du nom que vos parents vous ont donné. Je vous parle du ou des noms que vous aimeriez vous donner pour mieux encore vous représenter dans ce roman de votre si merveilleuse épopée.

Moi pour l’instant j’ai plusieurs personnages en moi qui représentent différentes parts de ma personnalité. Dans le logo, je vous en confie deux. C’est déjà pas mal. Parce qu’on ne se connait pas bien encore. Un jour, je vous confierai le nom des autres parties de moi, si vous êtes gentils.

Kaliyah et Namilélé, deux noms qui me parlent beaucoup et qui racontent ma propre histoire. Namilélé, c’est le lion africain, baignant dans l’amour et qui fonce, qui fonce, qui fonce sans jamais s’arrêter. Pourquoi “Africain” vous me demandez ? Je vous en pose moi des questions ? C’est mon histoire, on avait dit qu’on ne jugeait pas. Je ne peux pas tout vous dire de suite. Restez attentif s’il vous plaît. On parlait de moi là. J’ai appris plus tard que Namilélé ça voulait dire “pour toujours”. Sacré coïncidence n’est-ce pas ? Alors je l’ai gardé, et je l’ai même chéri, ce nom. Un heureux hasard qui fait du bien à mon cœur. J’ai rencontré Namilélé quand je pratiquais l’ésotérisme à la recherche d’un super pouvoir. Et le seul super pouvoir que j’ai trouvé au final en 12 ans grâce à lui, c’est l’amour. On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a. Mais j’ai carrément souffert pour ça. Faut pas croire que ça a été facile. Namilélé m’en a fait sacrément baver. Mais ça valait le coup. Alors il se devait d’être dans ce logo. Et puis Kaliyah, c’est le joli serpent mauve que vous voyez dans l’animation du logo, elle tournoie autour du lion très rapidement pour le protéger et lui donner sa force. Et plus particulièrement encore la force féminine qui fait de moi un Homme. Un peu comme la femme qui soutient son guerrier corps et âme et qui le chouchoute d’amour quand il rentre à la maison, victorieux. Moi ça me fait du bien, ça. Je me suis raconté l’histoire dont j’avais besoin pour me soigner. Je me suis fait un film en fait. J’adore les films qui racontent de belles histoires. La mienne c’est que je suis un Lion Africain rempli d’amour avec une grande part féminine forte et intuitive représentée sous la forme d’un serpent. C’est du délire, oui, je sais.

Elle me plaît bien, ma mythopoeïa.

Ah, je vous ai perdu là on dirait. La mythopoeïa est un genre littéraire utilisant des mythes afin de se décrire personnellement. Ellenberger, célèbre historien qui a écrit un gros pavé nommé “histoire de la découverte de l’inconscient”, disait même que plonger dans l’inconscient mythopoéïtique pourrait jeter une lumière nouvelle sur beaucoup de problèmes restés obscurs en psychiatrie. Comme si écouter de jolies histoires racontées par l’inconscient pourrait un jour aider des gens à aller mieux.

Revenons à nos moutons. Vos mythes, ils vivent en vous, sans que vous ne les connaissiez tous pour le moment. Vous le sentez, au moins un en particulier. Il veille sur vous. Certains l’appellent la bonne étoile, l’ange gardien, la chance, Dieu ou même mamie. Au fur et à mesure que vous avancez dans votre vie, malgré toutes les souffrances, et qu’est-ce qu’il y en a des souffrances dans votre vie, une voie semble se dessiner devant vous, faites pour vous. Comme si quelqu’un, là haut, ou en vous, au moment où vous vous apprêtiez à toucher le fond, vous éclairait la seule voie possible pour survivre et même vivre…

Un jour, quand vous aurez le temps, donnez-lui un nom. Vous verrez, cela le rendra encore plus réel et puissant, ce mythe. Et si possible, pas un nom sociétal. Vous pourriez l’appeler Marc ou Aurélie. Ce serait cool, hein, je ne jugerai pas. Mais comme mythe on a vu mieux. Soyez créatif. Un nom unique, rien qu’à vous, que personne d’autre que vous n’aurait pu inventer. Et si vous avez besoin d’aide, un petit coup d’hypnose HUNKAAR vous y aidera.

Je dois vous faire une confidence. Je trouve dommage que vous ayez si peu de personnes dans votre vie capables d’admirer tout ce poids que vous portez au quotidien. Votre corps essaie de vous le montrer, et vous essayez de le cacher aux yeux du monde entier. Ici, à HUNKAAR, vous avez le droit d’étaler vos souffrances. De toute façon, je les vois, même quand vous essayez de les dissimuler. Elles font partie de vous. Je ne vous demanderai jamais de les ignorer. C’est promis. Est-ce que vous m’autoriseriez à rentrer à l’intérieur de vous pour les explorer un peu avec vous ? Si cela vous paraît trop dur, arrêtez, vous avez le droit.

Aie aie aie. Votre ventre souffre. Il vous appelle déjà à l’aide régulièrement, n’est-ce pas ? Il gonfle, il se manifeste comme il peut, il vous parle même des fois. On dit souvent que le ventre est un deuxième cerveau. Vous y croyez, vous ? Moi ce que je crois, c’est qu’il parle un autre langage que le notre. Il a tellement de choses à nous dire et c’est difficile pour lui de se faire entendre correctement. Pourquoi ne pas décrocher le combiné un peu plus souvent pour lui répondre ? Ah, ben oui, vous n’avez pas le temps pour apprendre son langage, c’est vrai. Je comprends. Votre vie est déjà bien remplie, difficile de trouver la moindre seconde à consacrer à votre petit ventre. “Petit” étant une marque affective, que vous le trouviez mince ou gros ne m’intéresse pas. Je vous ai dit qu’ici on cherchait à entendre l’histoire de chacun, pas à juger. Votre ventre, j’ai envie d’entendre son histoire, peu importe à quoi il ressemble.

Avez-vous déjà pensé à dire merci à votre ventre ? Il vous consacre toute sa vie quand même, ce n’est pas rien. Allez-y, prenez deux secondes, fermez les yeux et dites-lui merci. Allez. J’insiste. Faites-le. Arrêtez de lire et FAITES-LE.

Et peut-être que lui aussi vous dira merci, à sa manière.

Hein petit ventre adoré ?

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3 réflexions au sujet de “Mon histoire dans le logo HUNKAAR”

  1. Bonsoir Jean Emmanuel
    Cet article résonne tellement pour moi,
    J’attends de meilleures conditions sanitaires pour m’inscrire à la formation. Je suis restée sur ma fin à Paris.
    Toute ma gratitude pour vos partages.
    Bel été
    Laurence

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