Pour Gayann – Lettre d’un père à son fils
Désolé. S’il te plaît pardonne moi. Merci. Je t’aime.
En ton honneur, comme tu aimes tant à le rappeler dès que tu l’aperçois quelque part : « ça c’est le G de Gayann ».
Désolé. S’il te plaît pardonne moi. Merci. Je t’aime.
En ton honneur, comme tu aimes tant à le rappeler dès que tu l’aperçois quelque part : « ça c’est le G de Gayann ».
Un mois pour mieux comprendre comment fonctionne notre inconscient en lui montrant toute l’empathie possible. Vivre sa vie. Se rapprocher de nous.
J’attendais ce moment avec impatience. Quatre mois que j’avais réservé ! J’étais plein de doutes, désespéré et avec un trop plein de questions. Mais je voulais aussi venir le plus « prêt » possible. Pour y arriver, j’ai commencé à pratiquer régulièrement l’autohypnose, jusqu’à en faire presque tous les jours le mois précédant le séjour. Cela m’a permis de me fixer des deadlines, comme finir mon roman commencé il y a deux ans. Arrivé chez Christine le 26, 27 et 28 novembre, j’étais un peu jetlagé mais surtout en retard sur mon roman. Christine a su comprendre mon besoin d’écrire et a su cadrer les séances en conséquence pour me permettre d’avancer dans mon livre tout en profitant pleinement de cette expérience.
Ce module à venir aura une orientation particulière mettant en exergue la transe. HUNKAAR est une méthode permettant de dialoguer avec notre inconscient pour toucher du doigt la sensation d’être pleinement vivant en nous reconnectant à qui on est vraiment.
Un défi du mois consacré à l’année 2023. Mais attention, il ne s’agit pas juste de planifier ses bonnes résolutions…
Une interview réalisée par Jody du site Surefficient.com avec l’objectif de parler d’HUNKAAR, tout simplement.
Bonne écoute !
Un défi aux approches et aux possibilités infinies. Les interconnexions entre ombre et lumière sont nombreuses, lesquelles explorerez-vous ?
Si j’écrivais ces lignes pour être lu, je serais déçu.
Si vous lisiez ces lignes parce que je vous ai invité à le faire, vous seriez déçus. De toute manière, j’aurais de quoi être grandement étonné si vous lisiez ces lignes tout court.
En 2008, peu avant mon hospitalisation pour le diabète de type 1, je ne connaissais Namilélé que par l’approche ésotérique. Mes explorations m’interpelaient mais ne rentraient pas dans mon domaine de croyances. Mes rationnalisations divergeaient alors drastiquement des narrations originelles de Namilélé. Là où il me présentait à des entités “ange-gardiens” destinées à me faire évoluer, je transformais à l’aide d’un filtre rationnel son discours comme si ces entités étaient des parties de mon propre inconscient, refusant ainsi de laisser exister ma propre histoire. Ce n’est que très récemment que j’acceptai de laisser vibrer en moi ma propre mythopoéïa, sans jugement. Comme Carl Gustav Jung, je décidai lors du défi du mois n°6 que ma vie serait l’histoire de mon inconscient qui accomplit sa propre réalisation. Namilélé m’a tellement fait de bien durant ces 14 dernières années que je lui devais bien ça en retour.
Pour ce défi du mois n°10, j’ai eu envie de partager publiquement mon processus d’exploration au fur et à mesure afin je l’espère de contaminer ne serait-ce qu’un seul d’entre-vous à vouloir essayer.
Le thème du mois est donc « jouez avec votre respiration ». Avant même d’y apporter une touche ludique, je souhaitais d’abord explorer tout ce qui se cachait derrière le mot respiration. Tous ses potentiels, en quelque sorte. J’ai déjà quelques expériences passées liées à la respiration. J’utilise de temps à autre la respiration Wim Hof que j’adore, la respiration méditative et j’ai exploré toute sorte de breathwork (respiration active).
Mais je vous jure, je n’avais jamais testé un truc aussi fou qu’Ananda Mandala. Découverte aujourd’hui par le plus grand des hasards, cette respiration active m’a transporté vers d’autres cieux. Littéralement.